- Extrait "Orphée" de JEAN COCTEAU / foule chez Drouaut pour remise Goncourt / SALACROU donnant les résultats - J.C. SCHNEIDER, libraire, dans sa boutique : "pour moi, les prix n'ont pas d'intérêt" - J. LINDON, directeur éditions de minuit, dans son bureau : "rôle bénéfique dans vie littéraire" - Bibliothèque gare : interview du libraire : "au début celà fait du bien" - Bouquinistes quai de la Seine : un bouquiniste : "un mois après, c'est fichu, un an après, on a tout oublié" - GP J. LINDON : "un prix littéraire n'a qu'une valeur : augmenter le vente" - G. BARBIZON, chez elle : "prix sert à aider les éditeurs" - M. PRIVAT, éditeur "problèmes de tirage" / tas de livres sur table / place narilon / façade restaurant Drouaut / photographe chez Drouaut - M. CONCHON chez lui : "au début, on n'y croit pas, avant le Goncourt, on est un amateur, après on est un profesionnel" - J.L. BORY : "publicité monumentale, prix Goncourt, danger pour le débutant, ça peut vous briser les pattes" / libraire / acheteurs fouillant rayons - J.C.SCHNEIDER "gens lisent pas les prix, ils les offrent, c'est le cadeau passe partout" - B.PRIVAT : "je pense que les gens lisent les prix littéraires" - R. CLEMENT, libraire à Nancy : "phénomène magique dans prix littéraire" / GP centre table fleurs / table Goncourt - G. BARBIZON / A. LANOUX dans son jardin "le Renaudot pour moi représentait ce que peut être un prix littéraire, c'est à dire un prix de découverte ; j'ai quitté le jury quand il n'a plus répondu à cette définition" / GP mains mettant bande à livres - B. PRIVAT "phénomène français, vie littéraire centralisée à Paris"M. CLEMENT "les gens ont l'impression qu'il y a des coteries" - G. BARBIZON "A Médicis, je n'ai jamais eu cette impression" - FELICIEN MARCEAU président du Médicis : "un éditeur prend un livre en charge, il est dans son rôle quand il téléphone. Un critique pour...